Mandeville forme une communauté dynamique où les activités culturelles, sportives et naturelles agrémentent la vie. Tel un arbre, chaque citoyen apporte sa contribution au tronc commun formé par la municipalité.

Faites partie du mouvement en joignant une municipalité dont la qualité de vie est la principale préoccupation!


Nous sommes de lacs et de rivières

01

Une vie
culturelle

À Mandeville les événements se succèdent afin d'animer la vie communautaire.

Habitée par de nombreux artistes, la municipalité regorge d'idées permettant l'organisation d'activités culturelles hautes en couleur!

02

Une municipalité
environnementale

L'environnement forme le joyau de notre municipalité.

Sa protection demeure une priorité pour le conseil municipal dans tous les aspects du développement de notre région.

03

La nature au centre
de notre vie

L'immensité du territoire vert rend notre milieu si agréable.

Les citoyens et les touristes choisissent Mandeville pour la nature et ses activités de plein air à découvrir!

04

Des services
municipaux attentionnés

Une municipalité où les citoyens sont au coeur.

Les employés et le conseil mettent tout en oeuvre pour répondre aux demandes des citoyens afin que leur municipalité soit à leur image.

Histoire

  • 1806
  • 1821
  • 1827
  • 1904
  • 1909
Cet immense territoire portant le nom de fief Hope en 1806 fut longtemps délaissé par la colonisation. On raconte même que cet arrière fief de 20 000 arpents fut concédé à Angélique Blondeau par le seigneur Charles de Lanaudière.

Aux alentours de 1819, Jean-Baptiste Beaudoin et son frère Pierre accompagnés par des amérindiens s'installent sur la rive Nord de la rivière Maskinongé, une des seules voies de communication de l'époque. Aujourd'hui, cette rivière sert de limite entre la Municipalité de Mandeville et Saint-Gabriel-de-Brandon, par le pont qui la traverse dans le rang Saint-Augustin.

Elle prend son cours dans le lac du même nom et après trente milles de parcours, se jette dans le lac Saint-Pierre. Les eaux des lacs Mandeville et Deligny sont les principaux affluents de la rivière Maskinongé. Celle-ci a été identifiée, dès 1535, par Jacques Cartier, le découvreur de la Nouvelle-France. Étant au lac d'Angoulême (aujourd'hui lac Saint-Pierre) ainsi nommé par Samuel de Champlain, le 29 juin 1603, Cartier se rend compte que quatre ou cinq rivières se jettent dans ce lac, dont celle qui fait l'admiration des résidants et visiteurs de la Municipalité.

Julien et Joseph Beaudoin arrivent vers 1821 et quelques années plus tard, les Brûlé, Beauparlant, Martial. Pour ce qui est des Brûlé, l'histoire a conservé le nom de Joseph venu de Maskinongé en 1838. Milicien à la guerre de 1812, il épouse Madeleine Roy le 8 juillet 1822 et se choisit un lot dans le Brûlé en 1823.

Si l'on consulte le volume de 1917 « Saint-Gabriel et ses dénombrements » par G. Ducharme, les registres paroissiaux et un contrat de 1841, on en déduit que Maximilien Mandeville, fils de Joseph Mandeville et Marie-Louise Geaton, dit Dauphiné, mariés le 14 janvier 1799 à Lanoraie, est venu au lac Mandeville vers 1824. Maximilien laissera son nom au nouveau village. Saint-Charles-de-Mandeville.

Ancien village forestier situé à l'entrée principale de la Réserve Faunique Mastigouche, notre territoire est un véritable paradis pour la chasse et la pêche.

Délaissée par les seigneurs, cette région ne se peuple que vers 1827. L'exploitation du bois commence vers 1836 et l'agriculture s'y implante également; à preuve, les deux fromageries au début du siècle.

Mandeville (anciennement Saint-Charles-de-Mandeville) dont la paroisse religieuse fut fondé en 1904 par Charles Turgeon, curé de Saint-Didace et Maxime Mandeville, un des premiers colons. Ils ont contribué grandement au développement de cette municipalité. Comme la plupart des régions environnantes, en 1836, le bois est la principale exploitation avec l'agriculture.

Début du 19e siècle, deux fromageries s'installent dans la région permettant ainsi la fragmentation de Saint-Didace et la fondation de Saint-Charles-de-Mandeville. À cette époque, il y a deux hôtels et une manufacture de rouleaux à fil.

Ce qui allait devenir en 1971 la « Réserve faunique Mastigouche » fut jadis un club privé très sélect: The Mastigouche Fish and Game Club. Ce club fournissait jusqu'à une centaine d'emplois dans différents postes pour l'entretien de l'hôtel et de ses 50 bâtisses en bois rond.

L'année 1909 est mémorable dans les archives de la paroisse, puisque le 1er août on procède à la bénédiction de trois cloches pour garnir l'élégant clocher de l'église qu'on vient de compléter. Un perron neuf et la tribune du crieur datent de cette même année.

La plus grosse cloche pesant 2000 livres est baptisée Pie-Marie en l'honneur de Pie X le pontife régnant, la deuxième, du poids de 800 livres, François-Xavier, le prénom de l'évêque de Trois-Rivières et la plus petite 500 livres, Daudios-Pierre, en l'honneur du dévoué curé de Saint-Charles-de-Mandeville, Gaudios Laquerre. C'est fête au village.

Un banquet de circonstance marque l'événement. Le profit sert à défrayer le coût des cloches. Monsieur et Madame Hercule Provost sont parrain et marraine d'honneur. La cloche Pie-Marie se fêle, on la descend du clocher car elle gâte l'effet du carillon. Dommage…c'est la plus grosse.

Une demande de l'évêque de Trois-Rivières à Sa Sainteté le Pape Pie X, le 15 mars 1910, sollicite la permission d'annexer à la paroisse Saint-Charles-de-Mandeville, des rangs appartenant à la paroisse Saint-Gabriel comme les rangs Saint-Pierre, Saint-Augustin, 1er, 2e, 3e, 4e et 5e rang du Canton de Peterborough.

Télesphore Ferland, premier chantre de l'Église. Son salaire était de 30 $ par année.



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